La glace commence à céder.
Dessous, ces larmes longtemps retenues.
Des années sans doute.
Maintenant,
au gré de cette chute sans gravité qui me fait sentir à nouveau mon corps, sa fragilité, m'oblige à calmer le mouvement incessant,
au gré de cette confiance si douce qui nous réunit,
les larmes ont commencé à couler hier.
Je sens les autres derrière se presser pour déferler enfin.
Je vais laisser faire, puisque je le peux peut-être enfin...
prends soin de toi...
RépondreSupprimerAlors il faut tout laisser sortir…
RépondreSupprimerComme ça,
comme ça vient…